Cela fait un moment que je ne suis pas passée par là. Il doit y avoir de la poussière, des toiles d’araignée,des bestioles ci et là,… Le temps que j’arrange tout cela…
Voilà! Le ménage est fait.
Eh bien, je commence par donner la raison de mon absence. En fait, j’ai eu un petit…que dis-je? un gros coup de mou. C’est ce qu’on appelle le syndrome de la page blanche. C’est un blocage dû au manque d’inspiration. Vous allez vous dire: cela n’arrive qu’aux écrivains! Figurez vous que non, tout le monde peut avoir un blocage devant une feuille blanche ou un écran blanc. Un élève peut se retrouver dans cette situation devant une dissertation, un journaliste face à un article ou encore une secrétaire qui a un rapport à rédiger,etc.
Eh bien, je commence par donner la raison de mon absence. En fait, j’ai eu un petit…que dis-je? un gros coup de mou. C’est ce qu’on appelle le syndrome de la page blanche. C’est un blocage dû au manque d’inspiration. Vous allez vous dire: cela n’arrive qu’aux écrivains! Figurez vous que non, tout le monde peut avoir un blocage devant une feuille blanche ou un écran blanc. Un élève peut se retrouver dans cette situation devant une dissertation, un journaliste face à un article ou encore une secrétaire qui a un rapport à rédiger,etc.
Selon certains articles lus sur internet, l’une des choses à faire pour vaincre ce syndrome est d’ECRIRE. Oui ! Vous avez bien lu. Il faut écrire quand on a du mal à écrire. C’est fou non? Il faut écrire tout ce qu’on peut noter: liste de course, de taches à faire, un mémo, etc. enfin! tout et n’importe quoi du moment où on arrive à remplir une feuille.
Moi j’ai écris ce qui me passait par la tête, en espérant que cela résoudra mon problème (s’il ne l’est déjà).
A la prochaine…
A la prochaine…
PS: Lire et commenter l’article fait aussi parti du processus…enfin je crois.