Sous un parasol décoré avec les symboles des rois du “Danhomè“(actuel Bénin),le roi fait son entrée accompagné des reines, servantes et suppléants qui chantent ses louanges.
Il entonne la première chanson et c’est parti pour une heure et demi de danses cérémonielles et royales d’Abomey.
Nous ne sommes pas au royaume d’Abomey mais dans l’enceinte de l’institut Goethe de Lomé qui a été transformée en cour royale pour la circonstance.
Mouvements de bras,de pieds,trémoussement du corps sous le rythme des tambours,cloches et hochets;tel était le rêve du roi Gbè hanzin ayi djrè qui a voulu laisser en héritage un patrimoine musical et chorégraphique.
De la danse Zinli à la danse Sogoè en passant par la danse Agbadja, le conservatoire des danses cérémonielles et royales d’Abomey a exaucé le rêve du roi Behanzin à travers des chorégraphies aussi originales les unes que les autres.
Princes et princesses,soldats victorieux d’une bataille,guerrières amazones en état de transe, tous se sont succédés sur la scène avec une énergie débordante et des tenues dignes de cérémonies royales.
Le roi a exécuté avec joie toutes les danses. Un roi heureux qui a récompensé son peuple en lançant des pièces neuves en direction du public,à la fin de la cérémonie.
Princes et princesses,soldats victorieux d’une bataille,guerrières amazones en état de transe, tous se sont succédés sur la scène avec une énergie débordante et des tenues dignes de cérémonies royales.
Le roi a exécuté avec joie toutes les danses. Un roi heureux qui a récompensé son peuple en lançant des pièces neuves en direction du public,à la fin de la cérémonie.
Ce rêve du roi Behanzin est un patrimoine culturel riche laissé aux générations futures,qui, on l’espère, continueront de valoriser la diversité culturelle du Dahomey.